crîme à Nîmes ... une ville tranquille

- baisse de la criminalité
- plus de points
- un enfant chez lui
- contamination, syndrome
 
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baisse de la criminalité à Nimes ...

En effet, le nombre de personnes tuées par balles ou autres, est en complète régression.
C'est dans cette ville, rappelons-le, que les policiers ont été profondément émus du geste du curé de Notre Dame de Nimes.
Celui qui avait été déçu que ses messages d'amours répétés dans ses prêches n'étaient plus écoutés.
Il avait donc tué un père de famille à la sortie de la messe devant tout le monde, pour montrer ce que serait un monde sans amour.
Les policiers, reconnaissant la juste valeur de son message, ont décidé de montrer ce que deviendrait une grande ville comme Nimes sans sa police.
Ils voulaient tuer un honnête citoyen, bon père de famille, chaque semaine.
Tout s'est bien déroulé,... au début. Car, très vite, il a été impossible malgré leurs recherches de trouver d'honnêtes pères de famille. Et donc, il y eut beaucoup moins de morts.
 
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Par exemple,
un père de famille s'est vu retirer 3 points, pour un acte de rébellion, il a refusé de baisser la tête au passage d'un policier nîmois pourtant très respecté.
Cela fait sourire, car ce serait un fait plutôt banal, si dans ce cas, l'homme avait eu encore des points.
Mais arrivant à zéro point, son permis de sortir de chez lui, lui a été retiré et il a été ainsi condamné à rester chez lui, pendant trois mois, ça lui apprendra,
et c'est plutôt rare à Nimes où la criminalité est en baisse.
 
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Surtout si on ne retient pas le cas
où, un homme et sa femme ont été arrêtés car ils hébergeaient chez eux un enfant.
L'homme affirme ... que c'est son fils. " Laissez moi le voir " s'est-il écrié devant les policiers médusés.
Mais depuis le renforcement de la loi Sarko 3, ce n'est plus toléré même chez nous.
Il n'est plus seulement interdit d'héberger des enfants, surtout ceux-ci doivent obligatoirement restés à l'Ecole de la Republique, c'est-à-dire derrière les grilles et barbelés et gardés par l'armée.
Méfions nous des enfants, car encore la semaine dernière, certains de ces enragés ont déjoué la vigilance des militaires, en passant par dessus la clôture électrifiée, pour brûler les dernières voitures encore présentes et roulantes dans le quartier et même les deux vélos portant la grande échelle des pompiers.
Elle est bien révolue l'époque où, à l'exclusion de tout autre jeux, seuls les jeux électroniques de guerre sur console ou ordinateur étaient autorisés. Pour faire de meilleurs soldats experts en simulation électro-informatique, affirmait alors la ministre des armées de l'époque, le résultat a été encore pire, les mômes battaient les flics.
Plus de jeux
 
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Toujours à Nimes, le syndrome

Les policiers de notre métropole n'auraient pas voulu enlever de leurs mains, le cadavre d'un malfaiteur mort la veille, de peur de la contamination.
En effet, cet homme a été abattu lors d'un barrage policier pour sa dyslexie.
Les policiers se sont aperçus qu'il lisait de droite à gauche, sous le coup du syndrome de la lecture globale. Syndrome fermement condamné par la loi de Robien 2. De plus cet homme n'utilisait pas le langage comme un simple outil de communication, syndrome découvert lors de l'épidémie découverte chez les candidats, au cours du contrôle de connaissance du bac 2005.
Un ancien instit nîmois a avouer que, bien que détecté dés l'âge de 3 ans [ce déviant (?) avait effrontément coupé la parole à sa maitresse], les autorités n'avaient pu le localiser du fait de complicité d'enseignants irresponsables opposants aux lois De Robien et encore mangeurs de poulets.
Il est inutile de rappeler que c'est un instit nimois qui fut condamné à 10 ans de prison pour avoir fait des maths modernes le matin, et bien qu'on le lui ait interdit, il enseignait la théorie des ensembles !
D'où une grande dangerosité et la peur engendrée chez les hommes de la police de Nimes, très respectueux de la loi, de la grammaire et de la sécurité de la population nimoise.
Il sera donc, une fois de plus, fait appel aux 'gendarmas' clandestins turcs payés en pièces de lires turques, encore présents dans notre pays.
Un jeune internaute (de la brigade de Brignon) s'étonne qu'on parle encore de gendarmes clandestins, c'est du pur mensonge, dit-il, et s'étonner que de plus en plus de PV sont rédigés en turc, c'est du racisme, affirme t'il. Dont Acte.
Merci.

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voila qui nous rassure ...
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